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Notre glossaire

Des mots simples pour expliquer les pires gros mots du marketing et de la communication.

Big Data

Un traitement de données est dit big data à partir du moment où des éléments non structurés, en général volumineux et requérant des méthodes basées sur des technologies de type Hadoop/Map Reduce, sont utilisées pour obtenir le résultat escompté. L’emploi du terme NoSQL (Not Only SQL) signifie qu’une requête – l’interrogation de plusieurs sources de données – utilise aussi bien des éléments issus d’une base de données dite relationnelle (le langage commun d’interrogation est le SQL pour Structured Query Language ou langage de requête structurée) que des éléments non structurés issus de la collecte de données dites comportementales (on utilise aussi en français l’expression attitudinale) comme par exemple la navigation sur un site, des éléments de langage postés sur des forums de discussion ou sur les réseaux sociaux comme Facebook, des informations factuelles…

Communication digitale

Vaste sujet que celui de la communication digitale. D’ailleurs ne s’agit-il pas de communication numérique pour rappeler que c’est d’abord et avant tout de la numérisation de la communication dont il s’agit. Tarte à la crème pour les uns, réel sujet pour les autres, la communication est aujourd’hui en partie associée au numérique. Si les réseaux sociaux ont attisé les conversations, la communication digitale traduit la diversité des canaux qui désormais s’inscrivent entre un individu – citoyen – consommateur et une marque. La communication doit dès lors être juste adaptée aux moyens d’interaction, obligeant les uns et les autres à ne plus se considérer comme l’émetteur d’un message, mais l’un des animateurs d’une multitude de conversations.

Edgerank

EdgeRank est l’algorithme utilisé par Facebook pour sélectionner et ordonner le contenu qui apparaît sur le fil d’actualités des utilisateurs. Cette recette plus ou moins secrète évolue constamment depuis des années. Plusieurs critères sont aujourd’hui pris en compte dans EdgeRank pour faire remonter l’information dans le réseau social : l’interaction entre utilisateurs (j’aime, partage, commentaires, etc.), la richesse du contenu (texte, images, vidéo, liens, etc.), la date de publication (plus un contenu est récent, plus il est mis en avant par l’algorithme) ou encore, depuis 2015, le temps de lecture (pour capter les utilisateurs passifs qui représentent la majorité des visiteurs de Facebook). L’intérêt de remonter une information pertinente est double pour l’entreprise de Mark Zuckerberg. D’un côté, les internautes accèdent directement au contenu qui les concerne sans se perdre dans les méandres de Facebook. De l’autre, les annonceurs peuvent cibler, selon leur besoin, une audience plus large, voire plus captive.

Online Lurkers

Dans la culture Internet, les online lurkers sont une catégorie d’internautes qui se connectent régulièrement à des communautés en ligne tout en restant passifs, s’affichant rarement aux yeux des autres utilisateurs. Bien qu’ils soient difficiles à dénombrer, on estime que la plupart des internautes seraient des lurkers. Discrets et silencieux, ils seraient satisfaits de consommer du contenu sans participer activement, interagir ou répondre. Pour certains spécialistes, les online lurkers auraient même autant de valeur, voire plus, que ceux qui participent et s’expriment fréquemment sur les réseaux sociaux. Si votre communauté possède un bon nombre de lurkers, c’est que ces derniers sont intéressés par votre contenu et qu’ils sont captifs.

SMO

Vous connaissiez le SEO (Search Engine Optimization) indispensable a tout site qui veut se faire référencer correctement par Google, voici maintenant le SMO (Social Media Optimization). Ce dernier a pour but d’augmenter la visibilité d’un site web ou encore d’une entreprise sur les réseaux sociaux. Comment ? En ajoutant régulièrement sur chaque page web des flux RSS, des boutons de partage, des discussions en direction des réseaux sociaux. La publication des commentaires de ces discussions et le tweet (et le retweet) systématique augmenteront ainsi le buzz et la visibilité du site. Partager est donc le mot d’ordre. Evident ! Encore faut-il le faire.

User Interface (UI)

L’UI regroupe tous les processus qui permettent le lien entre la machine et l’homme. Le but ? Autoriser un parcours plus aisé de l’internaute. L’ajout de boutons de navigation intuitifs et la mise à disposition d’un contenu de qualité offrent ainsi une plus grande clarté. L’organisation des éléments textuels et graphiques sur la base de normes techniques augmentent considérablement l’efficacité. Le site devient immédiatement plus esthétique… plus attrayant. Pourtant, l’UI seul n’est pas une solution satisfaisante. Il faut plus qu’un « bel emballage » pour créer l’attrait et l’intérêt indispensables à tout bon site web. C’est à ce moment qu’intervient son acolyte : UX.

User eXperience (UX)

L’UX prend, lui, en comptes des domaines qui se rapprochent plus de l’émotion, du ressenti. Une expérience utilisateur réussie doit faciliter la vie de l’internaute. Les webdesigners chargés du développement de l’UX apportent ainsi systématiquement des solutions centrées sur l’utilisateur pour concrétiser son action. Le contenu, le design, l’architecture du site se combinent alors pour offrir une expérience aboutie de la navigation. Souvent, le storytelling (mise en récit) est judicieusement utilisé pour arriver à titiller la sensibilité des internautes. On le voit, l’UX intègre donc l’UI, mais son rôle demeure plus stratégique.

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